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Criminal Love.

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JonesPants
JonesPants


Localisation : Le Mans, Sarthe, Pays de la Loire, France.
Messages : 63

Criminal Love. Vide
MessageSujet: Criminal Love. Criminal Love. EmptySam 10 Juil - 20:06

HEY!
Donc, ceci est mon premier poste sur ce forum :'D
C'est le TOUT PREMIER SA que j'ai écris de toute ma life et je sais que certaines d'entre vous l'ont déjà lu car je l'avais déjà posté sur le premier forum d'Elysa Smile Mais ça vous empêche de recommenter les meufs ;D
Sinon, j'ai corrigé les -horribles- fautes qu'il y avait donc normalement, tout est ok. En revanche, s'il y en a encore, dites-le moi discrètement et je corrigerai Very Happy Voilà voilà, bonne lecture Very Happy

Criminal Love.



<< Agent Judd, agent Judd, on a une explosion sur la 74ème ! s’exclama un grand blond en entrant dans le bureau. Il est de retour, Mr… >>

L’agent Judd se leva de son siège, attrapa sa veste, ainsi que sa plaque et son arme et s’empressa de sortir de son bureau. Le grand blond le suivit. Ils se retrouvèrent rapidement dans le parking du commissariat.

<< Levet, appelle Smith et préviens-le de bloquer le périmètre dans un rayon de quinze kilomètres autour de la 74ème ! Il ne faut pas que ce fumier s’échappe ! Fletcher, tu me suis, on va sur la scène. >>

Judd et Fletcher se mirent en route tandis que l’agent Levet sortait son téléphone. Dans la voiture, les deux agents faisaient le point sur l’enquête.

<< Ca fait un an qu’il nous balade. On sait qu’il est seul. C’est un individu de race blanche d’environ vingt cinq ans. Son état mental est plutôt instable, récita Fletcher.
- Il fait exploser ses bombes toutes les trois semaines, dans des endroits publics, il cherche à faire le plus de dégâts possibles. Son mode opératoire est très complexe. Il fait en sorte qu’il y ait le plus de monde possible, et se sert de voitures volées. Ses crimes prennent de plus en plus d’ampleur. Il a commencé par des incendies de voitures, et aujourd’hui, il s'en ait pris à l‘une des artères principales de la ville, il gagne en confiance ! s’écria l’agent Judd. Et si on ne sait toujours pas quelles sont les raisons de ses agissements, nous ne le retrouveront jamais.
>>

L’agent Fletcher détourna le regard. Son supérieur avait raison : s’ils n’avaient pas plus de détail que cela, le criminel agirait encore et encore.
Lorsqu’ils arrivèrent sur la scène de crime, une demi-douzaine d’ambulances était déjà sur place et les ambulanciers évacuaient les blessés. Les morts étaient soigneusement déposés sur des brancards et recouverts par des draps blancs. Les deux agents sortirent de la voiture et se dirigèrent vers leurs collègues déjà présents.

<< Agent Judd, agent Fletcher, salua une grande brune en serrant la main des nouveaux arrivants.
- Agent Kearney. Vous avez du nouveau ? demanda l’agent Judd.
- Pour tout vous dire, oui, répondit la jeune femme. Cette fois-ci, le suspect ne s’est pas contenté de faire exploser une bombe. Il… il a un otage. D’après les témoins, il l’aurait convaincu de le rejoindre de l’autre côté de la rue avant de tout faire exploser. Nous avons une description de l’otage, mais personne n’a réussi à voir le suspect.
- Et…comment serait l’otage ? questionna timidement l’agent Fletcher.
- Brun/roux, les cheveux bouclés. Il portait de lunettes de soleil, la monture serait… bleue. Il avait une chemise à carreaux rouge et bleue, et un bermuda en jeans foncé. Il était en tongues.
- Il était plutôt grand, petit ? Un quelconque signe qui pourrait le différencier d’à peu près la moitié des londoniens ? demanda l’agent Judd.
- Je… je ne sais pas, répondit Kearney. Il… il me semble qu’une jeune fille a remarqué qu’il avait des… des tâches de rousseurs sur les bras.
- Très bien. Fletcher, appelle Bram et décris-lui l'ôtage.. Je veux qu’il fasse une conférence de presse et qu’il le décrive. Il faut également qu’il ouvre une ligne d’appels à témoins, je veux retrouver cet homme vivant.
>>

Le blond acquiesça et s’éloigna, son portable à la main. Judd quant à lui, alla parler à quelques témoins.


Quelque part à Londres.

<< Je ne sais pas ce que vous comptez faire de moi, mais je vous en prie ne me tuez pas ! s’exclama un grand brun.
- Je… je com… compte pas te… te tuer… Da… Daniel Jones, bégaya un petit blond en se garant dans une ruelle. So… sors de la voiture.
>>

Ledit Daniel sortit de la voiture. Il fut tenté de se mettre à courir vers la sortie en criant à l’aide, mais une main se posa sur sa bouche, l’empêchant de faire le moindre bruit.

<< Ce n’est pas une bonne idée, Daniel, annonça le même blond que la première fois. >>

La voix du blond n’était pas la même, elle était devenue légèrement plus dure, et les bégaiements avaient disparu.
Mort de peur, Danny se tut et suivit son ravisseur lorsqu’il entra dans l’immeuble à leur gauche. Ils prirent l’escalier et montèrent jusqu’au troisième étage. Puis ils entrèrent dans un appartement. Ce dernier était plutôt bien rangé, et assez grand. Les murs étaient noirs et recouverts de photo d’incendies.

<< La décoration te plait, Daniel ?
- Je… oh oui, c’est… c’est très joli, répondit le brun. J’aime beaucoup les couleurs.
- C’est… c’est vrai ?! s’étonna le petit blond, se remettant à bégayer. In… installe-toi, je… je vais aller…aller chercher à boi… boire.
>>

Le jeune homme fit demi-tour et se dirigea vers une pièce près de l’entrée de l’appartement. Mais il revint bien vite près de son otage. Il sortit des menottes de la poche intérieure de sa veste, les passa autour des poignets de Daniel, puis repartit vers la cuisine.

<< Je… je fais ça pour ton bien, Da… Danny ! s’écria le blond depuis la cuisine. Je… je veux pas que tu t’échappes. Tu… tu sais, il y a des… des dealers dans cet… cet immeuble. Et s’ils… s’ils te voient, je… j’ai peur qu’ils te fassent du mal.
- Merci, répondit Daniel. C’est très… gentil de ta part de vouloir me… protéger. Mais… est-ce que tu veux bien me dire comment est-ce que tu t’appelles ? demanda le brun.
>>

Le blond revint dans le salon, une bouteille d’eau dans une main, et deux verres dans l’autre.

<< Je… je sais pas si je peux te le dire. Je… j’ai con… confiance en… en toi, mais je… je sais pas si… si lui il… il est d’ac… d’accord.
- Tu peux me le dire, insista Daniel. Je lui dirai pas, promis.
- Il… il est toujours au cou… au courant de tout. De tout ce que je fais… de tout, de tout ce que je pense, ce… ce que je dis. Il est là, tout le temps, annonça le blond en pointant son crâne du doigt.
- Je vois, répondit Danny. Mais… je suis sûr qu’il est d’accord pour que tu me le dises. Et puis, si je ne sais même pas comment tu t’appelles, comment voudrais-tu que l’on devienne ami ?
- Oui tu… tu as raison. Je… je m’appelle Dougie. Dou… Dougie Poynter. Bref. Est… est-ce que tu… tu as soif ? demanda-t-il en montrant la bouteille. Elle…elle est bien fraiche.
>>

Sans attendre la réponse du brun, il lui servit un verre d’eau et l’aida à boire. Puis il lui retira ses menottes.

<< Tu… tu sais Danny, ça… ça fait longtemps que… que je t’observe, annonça Dougie en retirant sa veste. Un… un an, environ. >>


Scotland Yard, Londres.

<< Judd, on a quelque chose d’intéressant sur la ligne cinq ! s’exclama un agent. >>

L’agent Judd sortit en trombe de son bureau et rejoignit rapidement ses collègues. Ils étaient tous autour du téléphone attendant le moindre mouvement de l’autre côté.

<< Nous avons mis le haut-parleur, toute notre équipe vous écoute, annonça Fletcher.
- OK. Alors hum, voilà, j’étais tranquillement en train de me promener sur Owl Street quand j’ai entendu des voix dans une ruelle. Et j’peux vous dire que ça, c’est pas normal. Parce que vous voyez cette ruelle, elle est un peu malfamée. C’est la que tous les dealers du quartier se retrouvent, et c’est plutôt la nuit, pas en plein jour. Bref, j’me suis approché, doucement, et là j’ai vu deux gars. Il y en avait un, un petit blond, il avait sa main sur la bouche de l’autre, et lui a chuchoté un truc à l’oreille. Et l’autre gars, ben j’suis sûr que c’est le mec que vot’ collègue a décrit, à la radio. Les cheveux bouclés, brun bizarre, une chemise et un bermuda. Et puis des RayBan bleues. Dooooooonc, j’pense que ces deux gars-là, ben c’est ceux que vous cherchez…
- Monsieur, êtes-vous sûr de ce que vous dites ?! demanda Judd.
- Hum hum, répondit l’homme. J’en suis même CERTAIN ! s’exclama-t-il.
- Très bien. Où avez-vous vu ces deux hommes ? demanda l’agent Kearney.
- Euh… Sur Owl Street. Il y a le marchand d’armes, vous voyez ?
- Oui ! Mais dépêchez-vous, nous n’avons pas le temps de discuter, la vie d’un homme est peut-être en jeu, s’exclama l’un des officiers.
- Oui oui, c’est bon. Je disais donc, en face du marchand d’armes, il y a une petite rue, avec des petits magasins, et dans cette rue, juste à côté de l’antiquaire, qui n’existe d’ailleurs plus, il y a une petite ruelle. Et c’est dans cette fameuse ruelle que je les ai vus.
>>

Sans attendre une seconde de plus, Judd, Fletcher, Kearney et trois autres agents se précipitèrent vers l’ascenseur. Arrivés au parking souterrain, ils séparèrent en deux groupes et montèrent dans une voiture. Ils allumèrent les gyrophares et partirent en direction d’Owl Street.

<< Très bien, maintenant, tu tournes à gauche, ordonna l’agent Judd. >>

Fletcher obéit et ils se retrouvèrent dans une rue marchande.

<< C’est la bonne ! s’exclama Judd en apercevant le panneau indiquant ‘Owl Street’. Très bien, le marchand d’armes est là-bas. Le SWAT ne devrait plus tarder à arriver. En attendant, il nous faut des témoins. Levet, Smith, vous allez interroger les commerçants. Fletcher, Kearney, vous me suivez. Brooks, vous restez ici. Quand le SWAT arrivera, vous leur direz d’encercler cet immeuble, annonça Judd en pointant un bâtiment du doigt. Si jamais il y a du changement, on vous prévient. >>

Judd et les deux autres agents enfilèrent des gilets pare-balles et se dirigèrent vers la ruelle. Lorsqu’ils furent dans l’immeuble, ils furent confrontés à un problème : quel étage ?

<< Il n’y a que trois étages dans cet immeuble, annonça Kearney. Il faut qu’on se sépare. Je prends le rez-de-chaussée, Fletcher, tu t’occupes du second. Judd, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Si vous avez du nouveau, vous bipez. C’est OK ? >>

Les deux homme acquiescèrent et prirent l’escalier. Lorsqu’ils furent au deuxième étage, Judd arrêta son collègue.

<< Tom, promets-moi que tu feras attention, murmura l’agent Judd.
- T’en fais pas pour moi, Harry, je sais me protéger, répondit ledit Tom en faisant un clin d’œil à son camarade.
>>

Ce dernier lui sourit tendrement et continua son ascension. Alors qu’il était à la deuxième marche, quelqu’un le retint. Il se retourna et des lèvres se posèrent sur les siennes.

<< Faites attention, agent Judd, chuchota Tom. Je ne veux pas qu’il vous arrive quelque chose. >>

Harry lui sourit à nouveau et recommença à monter. Arrivé sur le palier, deux portes lui faisaient face. Il se posta près de la première. D’un coup de pied, il l’ouvrit. Il trouva un appartement entièrement vide. « R.A.S ! », signala-t-il à ses coéquipiers. Il sortit rapidement et tenta d’ouvrir la porte du deuxième appartement. Celle-ci était ouverte. Lorsqu’il pénétra dans le salon, Judd vit les murs peint en noir et les photos d’incendie.

<< Troisième étage, appartement numéro six, chuchota-t-il. Des photos d’incendie, les murs sont peints en noir. >>

Il continua d’avancer et trouva une pièce remplie de photos. Celles-ci représentaient toutes un jeune homme brun aux cheveux bouclés. Sur un grand tableau noir, tout un tas d’informations étaient notées :

« Daniel Alan David Jones, 12 mars 1986. 23 ans. Informaticien.
Lundi : 8h30 – 12h00 : travail. 13h45 - 17h00 : diverses activités.
Mardi : Travail toute la journée jusqu’à 19h00.
Mercredi : 9h00 – 13h00 : Travail. 15h30 – 17h00 : Bénévolat ‘Earth Clean’
Jeudi : 8h30 – 12h00 : Aide aux personnes âgées. 13h45 – 17h00 : Travail.
Vendredi : Travail toute la journée jusqu’à 21h00.
Samedi : 9h00 – 11h00 : Jogging dans Hyde Park. 13h15 – 16h00 : Travail. 17h00 – 19h00 : Entraînement de foot.
Dimanche : 8h00 – 10h00 : Messe. 10h30 – 18h30 : Visite hebdomadaire de maman J. et Vicky. »

<< Nous avons affaire à un vrai fou. Je crois connaître l’identité de l’otage, Daniel Jones, 23 ans, informaticien, annonça Judd. Il me faut du renfort. Je ne sais pas de quoi cet homme est capable.
- Je suis là, Haz’, chuchota quelqu’un derrière lui.
>>

Harry se retourna et se retrouva face à Tom. Il lui sourit et sortit de la pièce.

<< Le SWAT est posté sur le toit de l’immeuble d’en face, prêt à intervenir si ça dérape. Kearney, Levet et Brooks sont sur le palier. Un bruit suspect et ils rappliquent. On ne risque rien, Harry, rassura Tom.
- On risque toujours quelque chose, Fletcher. Tant qu’on ne connait pas le suspect, on ne sait pas ce qu’il peut faire.
>>

Tom acquiesça et suivit Harry. Ils se retrouvèrent face à une porte peinte en noir. Harry fit signe à Tom de le couvrir. Puis, d’un coup de pied, il défonça la porte.

<< FBI, plus un geste ! s’écrièrent les deux hommes en cœur.
- Vous bougez, je lui fais sauter le crâne ! s’exclama Dougie en pointant son arme vers Danny. J’en suis capable !
- Nan, tu ne ferais pas ça, petit. Tu tiens trop à lui, répliqua Harry. Tu n’as pas fait tout ça pour rien, tu n’as pas épié le moindre moment de sa vie pour le tuer à la fin.
- Vous ne savez pas de quoi je suis capable ! Je suis pas qu’un simple poseur de bombes ! s’écria le petit blond. Je suis capable de bien plus ! Vous ne me connaissez pas !
- Dou… Dougie, j’t’en prie, me fais pas de mal ! supplia Daniel en pleurant. J’ai jamais rien fait de mal ! Je… J’vais à la messe tous les dimanches… je… j’aide les personnes âgées… Je… j’suis quelqu’un de bien !
- TA GUEULE ! s’écria Dougie en mettant un coup de poing dans la figure de l’otage.
>>

N’en pouvant plus, Tom avança vers Dougie, arme tendu devant lui, doigt sur la gâchette. Lorsque le petit blond le remarqua, il pointa sur revolver sur Tom.

<< Toi le blondinet, tu fais un pas de plus, j’te bute, annonça calmement Dougie.
- Dougie, tu vas poser ton arme, et mettre tes mains derrière ta tête. Si tu fais ce qu’on te dit, il n’y aura pas de problème, dit Harry.
>>

Le grand brun tentait de garder son sang-froid, mais il avait beaucoup de mal. Il connaissait assez bien Tom pour savoir que la menace de se faire tirer dessus ne l’effrayait plus, et ça depuis bien longtemps.

<< Bordel Dougie ! Tu poses ton arme ! s’écria Harry, n’en pouvant plus. Tu crois pas que t’as déjà assez fait de dégâts ? En un an, t’as tué plus d’une centaine de personnes. Des gens que tu ne connaissais même pas ! Et en plus de ça, tu voudrais buter le mec dont t’es amoureux ?
- Je… je veux pas… pas lui… lui faire de mal, bégaya Dougie. Mais vous… vous allez me… me séparer de… de lui !
>>

Tom tenta de s’approcher tandis que Dougie avait la tête baissée. Mais le jeune blond s’en rendit bien vite compte. Il visa rapidement et appuya sur la gâchette. Fletcher tomba au sol, sa tête cogna le parquet.

<< TOM ! s’écria Harry en se jetant sur son amant. >>

Il le prit doucement dans ses bras tandis que Kearney et ses coéquipiers entraient dans la pièce. Ils maîtrisèrent rapidement Dougie, mais durent tout de même s’y mettre à deux pour qu’il arrête de bouger. Kearney s’occupait de Danny.

<< Il faut appeler les secours ! s’écria Harry. Il… il est vivant ! Il peut s’en sortir !
- Non, agent Judd, c’est fini, répondit Kearney, les yeux pleins d’eau.
- NAN ! Il est vivant, je le sais. Je… je sens son poult ! Lynne, Lynne je t’en pris, aide-le. Fais-le pour moi ! supplia Harry.
>>

Lynne reposa soigneusement Danny sur le lit et attrapa son téléphone.

<< Il nous faut des secours. Troisième étage, numéro six. Un blessé par balle et un homme inconscient. Il faut faire vite. >>

Harry ne cessait de déposer des baisers sur le front de Tom.

<< Tom, Tom tu pars pas, hein ?! Tu restes avec moi. J’ai besoin de toi, tu le sais très bien, chuchotait Harry. T’es le seul qui me fait tenir, Tom. T’es le seul qui fait que je garde ce boulot de fou. Tommy, t’as pas le droit de me laisser ! Je… je t’aime Tom. J’t’en pris, me laisse pas ! >>

Harry était effondré, Tom perdait de plus en plus de sang et son poult faiblissait peu à peu. Sa respiration ralentissait…
Lorsque les ambulanciers entrèrent dans la pièce, Judd ne fut pas soulagé pour autant. Après tout, que pouvaient-ils faire de plus ? Ils posèrent Tom sur un brancard tandis qu’Harry restait planté au milieu de la pièce, les mains tachées par le sang de l’homme qu’il aimait.


General Hospital, Londres.

L’agent Judd était assis sur l’une des nombreuses chaises de la salle d’attente. Tom était au bloc opératoire. La balle de Dougie s’était logée dans ses poumons, il était entre la vie et la mort…
L’agent Kearney entra dans la salle. Elle se dirigea vers Harry et posa sa main sur son épaule.

<< Toujours pas de nouvelles ? demanda-t-elle.
- Non.
- Da… Daniel Jones s’est réveillé. Il n’a que le nez cassé. Il devrait sortir dans quelques jours, juste le temps de faire des examens psychologiques.
>>

Puis la jeune femme fit demi-tour. Assis sur sa chaise, l’agent Judd se remit à pleurer. Il se sentait coupable. Il était avec Tom et n’avait rien fait. Il l’avait laissé se faire tirer dessus sans même s’interposer. Si Tom y restait, se serait de sa faute, il en était persuadé.
De plus, Harry avait honte. Bien sûr, ils avaient arrêtés le criminel, mais ils n’avaient toujours aucune idée de la raison de ses agissements. Dougie Poynter refusait d’ouvrir la bouche, et lorsqu’il parlait, il disait seulement qu’il voulait voir Danny. Sur cette enquête, le FBI n’avait aucun mérite. Sans l’aide de cet homme, ils n’auraient jamais trouvé l’appartement de leur suspect…
Les heures passaient, et Harry angoissait de plus en plus. Il avait reçu la visite de sa famille, de celle de Tom, et même de la mère et la sœur de Daniel Jones, le remerciant d’avoir sauvé le jeune brun, et lui souhaitant bon courage.
Cinq heures après le début de l’opération, le chirurgien s’occupant de Tom entra dans la salle d’attente. Il se posta devant Harry, et sous les regards pesants des autres personnes présentes dans la pièce, l’homme en blanc annonça d’un ton neutre, presque automatique :

<< Nous somme désolés. Mr Fletcher n’a pas survécu. Toutes nos condoléances… >>


Dernière édition par JonesPants le Dim 11 Juil - 22:39, édité 2 fois
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E L Y Y B E
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Criminal Love. Vide
MessageSujet: Re: Criminal Love. Criminal Love. EmptySam 10 Juil - 23:51

Comme la première fois que je l'ai lu, j'adore tout simplement Smile
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Loraanee.
Loraanee.


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MessageSujet: Re: Criminal Love. Criminal Love. EmptyDim 11 Juil - 7:01

Ouh la dernière phrase ><

Sinon parfait, j'adore ! Smile
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Mayssa
Mayssa


Localisation : France - Monptellier
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MessageSujet: Re: Criminal Love. Criminal Love. EmptyDim 11 Juil - 15:40

et aujourd’hui, il s’en ai prit à l‘une des artères principales de la ville
> il s'en ait pris

Son supérieur avait raison : s’ils n’avaient pas plus de détail que cela, le criminel agirait encore et encore.
> détails ; "encore et toujours" sonnerait mieux.

Lorsqu’ils arrivèrent sur la scène de crime, une demi-douzaine d’ambulances était déjà sur place et ils évacuaient les blessés.
> étaient déjà sur place.

Il avait une chemise à carreaux rouge et bleue, et un bermuda en jeans foncé. Il était en Tongue.
> et un bermuda en jeans, foncé. Il était en tongues.

Il… il me semble qu’une jeune fille ai remarqué qu’il avait des… des taches de rousseurs sur les bras.
> a remarqué ; tâches.

- Très bien. Fletcher, appelle Bram et décris lui-l’otage.
> décris-lui l'ôtage.

Le blond acquiesça et s’éloigna, son portable à la main. Judd quand à lui, alla parler à quelques témoins.
> quant à lui

So... Sort de la voiture.
> sors

La voix du blond n’était pas la même, elle était devenue légèrement plus dure, et les bégaiements avaient disparus.
< disparu.

Les deux homme acquiescèrent et prirent l’escalier.
> hommes.

Tom est acquiesça et suivit Harry.
> Problème dans ta phrase.

- Non, agent Judd, c’est finit, répondit Kearney, les yeux plein d’eau.
> C'est fini ; les yeux pleins d'eau.


Tu as une bonne plume. tes phrases sont courtes et donnent un ryhtme entraînant. Quelques maladresses mais minimes. Le texte, le plan, la chronologie, tout est parfaitement ficelé, plausible. Le genre policier n'est pas facile à exploiter et pour une première fois, c'est du très bon niveau ! C'est prenant, ça nous tient jusqu'au dernier mot de cet imbécile de médecin. J'ai beaucoup aimé. C'est une perle.
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MessageSujet: Re: Criminal Love. Criminal Love. EmptyDim 11 Juil - 17:42

Omg, il y a des fautes tellement évidentes en plus XD 'quand à lui' non mais franchement XD
"avaient disparus. " Pas d'accord avec 'avoir'. Tss --'
"décris lui-l’otage." J'ai eu un petit problème de positionnement de trait-d'union là XD
" une demi-douzaine d’ambulances était déjà sur place " Dans ce cas, je parle de la demi-douzaine d'ambulances. Après, pour que ça colle, il faudrait que je modifie la phrase d'après...
"Tom est acquiesça et suivit Harry." Oups XD
"So... Sort de la voiture." J'ai honte XD J'ai revu l'impératif il y a pas longtemps en plus XD

M'enfin, beaucoup de fautes d'étourderie surtout XD
Quoiqu'il en soit, je suis contente que cet Os te plaise Very Happy

Maintenant, je vais aller corriger ces horribles fautes! Very Happy
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