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Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ?

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JonesyCath
JonesyCath


Localisation : Mon buncker
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Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? Vide
MessageSujet: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? EmptyVen 9 Juil - 20:46

La Reine des fautes poste son premier One Shot et oui ! Soyez indulgent et aussi parce que c'est mon premier OS Science-Fiction. Enjoy !




POV Abby Sanchez
Part 01


Je préparais son petit déjeuner comme à l'habitude mais plus vite aussi. Il n'était pas levé encore mais cela ne saurait tarder. J’entendais déjà ses toussements, son corps se retourné pour se mettre debout. Son café n'était même pas préparé. Si tout ne serait pas en place à sa sortie, j’allais avoir des ennuis. De gros ennuis. Peut-être pire qu'hier soir quand il m'a giflé pour avoir été en retard du cinéma avec Sophia. Je touchai ma joue en apportant son assiette à la table ainsi que sa tasse à café. Il se gratta le torse en sortant de la chambre et s'enferma dans les toilettes une dizaine de minutes ce qui me laissa le temps de finir son breuvage. Il s'assit directement devant son plat et le manga en me remerciant d'une voix étouffé dû au réveil.
- « Tout est à ton goût mon amour ?, tentais-je derrière lui, D’autre café ?
- Non, ça va merci. »
Je ravalai ma salive en m'en préparant un. Je continuai de le boire à la toilette, me regardant dans la glace. Je lavai mes mains et c'est là qu'il arriva sans prévenir. Sa main parcourra mon dos pendant qu'il prenait sa brosse à dents. En se les brossant, il me regardait à travers la glace, m’essuyant les mains. Il continuait de me fixer, toujours dans son occupation. Je plaçai mes mèches derrière mes oreilles et prit ma brosse à cheveux.
- « Tu devrais masquer ça », dit-il avant d'embrasser ma mâchoire.
Je pris mon fond de teint et mon anti-rougeur et appliqua le nécessaire sur ma pommette rougis. Le tout était disparu et mon sourire faible était au moins présent. Il était sur le point de s'asseoir quand j’arrivai dans le salon.
- « C'est bien comme ça, demandais-je pointant ma joue gauche.
- Oui », dit-il en me serrant contre lui.
Un film commença à 10:00 et cinq minutes plus tard, le téléphone sonna. Je pris l'appel,c'était mon père qui voulait savoir si je voulais venir faire un tour.
- « Tu restes ici, n’oublis pas, m’avertit Derek de loin, me regardant sévèrement.
- Mais pourquoi, dis-je, le téléphone collé contre ma clavicule.
- J'ai dit non, ce n’est pas négociable, dit-il froidement.
- Je ne peux pas mais je viens la semaine prochaine, promis, d’accord, au revoir. »
Je me rassis à coté de lui, tranquillement. Il soupira de mécontentement, tenant avec force la télécommande.
- « J'aurais pu y aller, il ne l'aurait pas remarqué, tentais-je.
- On ne sait jamais d’accord ! »
Il avait lancé la zapette à l'autre bout de la pièce, droit vers le mur ou elle éclatât en quatre morceaux. Mes mains sur mes oreilles et la tête penchée vers le bas le fit avancer vers moi. Je fermai les yeux quand il fut à trois centimètres de mon visage. Il restait là sans bouger et je n'aimais pas ça. Soit il allait me frapper ou m'embrasser.
- « N'ai pas peur de moi voyons », dit-il en caressant ma cuisse.
Ses doigts attrapèrent mon menton et le leva pour que j'affronte son regard. Je tournai la tête et plus durement, il plaça ma tête vers lui.
- « Abby, Je ne voulais pas t'effrayer », dit-il doux comme un agneau.
J’acquiesçai en me laissant embrasser par ses lèvres dures et chaudes. Il me tenait tellement fort et était tellement dominant que je pensais disparaître au fond du sofa. Ses doigts tenaient mes poignets fermement et les monta vers le haut pour les dégager. Ils les serraient de plus en plus fort et j'avais le goût de crier : À l’aide ! Mais aucun son ne voulait sortir étant donné qu'il m'embrassait encore avec force. Se faisant plaisir, je me contentai de rester presque toujours immobile, la tête sur le coté, fixant l'heure qui passait trop lentement à mon goût. Les aiguilles du cadran passaient aux ralentis rien que pour me nuire.



POV Abby Sanchez
Part 02


Il m'avait donné rendez-vous au Starbucks Coffee pour travailler sur son projet. J’étais arrivée avant lui, assise au fond du bistro, sirotant mon moka. Mon muffin aux pommes à moitié mangé, reposait au coin de la table. Il arriva enfin, ses yeux bleus illuminaient la pièce. Il marcha en ma direction, montrant ses jolies dents blanches bien droites.
- « Bonjour Abby, dit gentiment Danny.
- Bonjour...Alors t'as amené ton travail ?
- Bien sûre, tiens », dit-il en me donnant le paquet de feuille.
Je regardais chaque ligne, chaque mot de son livre.
- « Il y a des fautes, tu penses ?
- Non pas vraiment, souriais-je, tu t'améliores.
- Merci », dit-il, serrant les lèvres.
Lisant plus loin je fronçai les sourcils, je relis une deuxième fois l'une de ses dernières phrases de son premier paragraphe.
- « Quelque chose cloche ? , demanda t-il en avançant son corps.
- Oui, cette phrase », dis-je, pointant la ligne.
Il se leva et prit la chaise tout près de moi. Sa main tenait le siège de ma chaise et se pencha vers la feuille.
- « T'as raison, ça ne se dit pas, comment tu la changerais toi ? , dit-il, les yeux dans les miens.
- Euh..., dis-je ravalant ma salive, je me sentais trop proche de lui, Comme ça peut-être ? »
Je corrigeai la phrase en écrivant la nouvelle juste en haut, en mine très pâle.
- « T'es très jolie aujourd'hui, dit-il comme ça.
- Merci, bredouillais-je.
- Tu veux autre Moka ?, proposa t-il.
- Oui, s’il-te-plaît,merci », remerciais-je, gentiment.
Il prit ma tasse à café et se dirigea au comptoir. En attendant les tasses pleines, il était accoté face aux biscuits et me regardait du coin de l'oeil.Je souriais sachant cela mais je continuais à faire ma lecture. Il amena les deux cafés, juste assez chaud et me tendit le mien.
- « Merci », dis-je avant de boire la première gorgée.
Il ne se plaça pas face à moi comme à l'habitude, il se remit à coté de moi, très proche, suivant chaque ligne que je lisais.
- « Tu penses que je pourrai être publié ? , demanda t-il pendant que je tournais la page.
- Oui, dis-je sérieusement, mon regard dans le sien, Assurément, il est très bon. Tu trouves les bons mots pour tout décrire, t’auras aucun mal, t’inquiètes.
- Merci, ça me rassure.
- Ton entourage n'est pas du même avis ?
- Ouais mais tu sais, les amies, la famille, certains vont juste dire oui pour te faire plaisir. Toi c'est un vrai avis, tu travailles là-dedans.
- Oui et je lis beaucoup de livre et tu es le seul qui écrit comme ça, tu as ta marque c'est bien.
- Merci », dit-il approchant son visage.
Il pressa mon bras avec sa main. Aucune douleur, c’était très doux et plaisant. Il caressa mon poignet avec son pouce et j'admirais sa main le faire. Son autre main, sur le dossier de ma chaise, s’approcha de mon dos. Grimpant jusqu'à mes cheveux, il les déplaça pour mieux voir mon profil. Se penchant de plus en plus, ses lèvres rejoignirent les miennes, me donnant un doux baiser jamais reçus auparavant. Je me sentais embrasser par un ange tombé du ciel. Tout était bien réel et il passa sa main sur ma nuque, caressant mes cheveux d'un toucher encore plus doux. Je lâchai le crayon que je tenais et rejoignis sa main avec la mienne. Stoppant tout, nous nous sourirent, ne lâchant pas nos mains.
- « T'as quelque chose sous l'œil », m’avertit-il.
Il passa son pouce sous mon œil et ôta un cil en un instant. Il regarda son pouce, maintenant devenus beige et crémeux.
- « Désolé, je te démaquille, dit-il regardant son doigt, Qu’est-ce que tu as là ? »
Ma rougeur devait plus paraître maintenant qu'il avait enlevé mon fond de teint.
- « Rien de bien grave, dis-je sur un ton rassurateur, j’ai été maladroite avec mon fer plat.
- D'accord, dit-il ,fixant mes yeux, sentant que je mentais.
- Je devrais y aller, j’dois préparer le souper pour... »
Incapable et honteuse de finir ma phrase, il le fit.
- « Ton copain ?, tenta t-il.
- Oui », avouais-je.
Je sortis en vitesse du Starbucks et prit le premier autobus que je vis. J’avais une énorme envie et besoin de pleurer mais je me retins en m'asseyant au fond de l'autobus. Je sortis mon maquillage et mon miroir et arrangea ma pauvre figure. L’heure avançait et j'espérais qu'il ne soit pas arrivé. Mon retard m'apparût comme un couteau dans le ventre. Il était là, assis à une chaise, dos à moi. Le poing fermé durement sur la table, il mangeait un repas réchauffé.
- « Tu étais ou ?, demanda t-il, doucement mais aussi glacialement.
- Je travaillais aujourd'hui.
- Tu n'étais pas au bureau, intervenait-il, mécontent, j’ai téléphoné.
- Oui mais...
- Tu étais encore avec lui, avous, dit-il poussant son assiette tellement fort qu'elle tomba à terre.
- Oui mais, dis-je d'une petite voix alors qu'il était en ma direction, C’était justement pour le travail.
- T'as rien fait avec lui, c’est ce que tu me dis là ?
- J'ai rien fait , mentais-je du mieux que je pouvais,la tête à peine haute.
- T'es la pire salope et menteuse que j'ai jamais vu de ma vie, dit-il en bottant la chaise en ma direction.
- Je t'en pris Derek, calme toi, j’ai rien fait, je te jure, pleurais-je.
- T'as rien fais hein, pas si sûre de ça moi », dit-il en en empoignant mes cheveux.
Je criai de douleur et il plaça ma main sur ma bouche.
- « Tu vas la fermer oui ! J’te gage que tu l'as vu et que vous êtes partis baiser à quelque part, avous le ! »
Son premier coup de poing dans le ventre m'achevait déja.J'étais à terre, pliée sur moi-même, je reçus un deuxième coup au même endroit mais cette fois-ci avec son pied. Je sentais du sang glisser dans ma bouche pour ensuite sortir au troisième coup. Il s'en allait entamer le quatrième mais je pleurais tellement, me tenant fermement contre moi-même, qu’il stoppa tout. Les yeux horrifiés, s’arrachant presque les cheveux de la tête, il se mit à genoux et me prit dans ses bras. Il me souleva et m'assis à la chaise installé dans la toilette. Il sort la boîte de kleenex et la posa sur le lavabo. Je tenais ma tête qui tentait d'exploser à n'importe quel moment. Il prit quelques mouchoirs et versa de l'eau dessus avant de tenter de me nettoyer mon menton en sang. Je montai ma tête, l’air féroce, serrant ma mâchoire. Je me levai, posa mes mains sur son torse et le poussa vers la sortie avant de fermer la porte. Tout s'était tellement passé vite qu'il ne s'était pas défendus mais après il bûcha dans la porte car je la barrai.
- « Abby, J’suis tellement désolé, je t'en pris ouvre moi ma chérie, dit-il sur un ton posé et désespéré.
- Va t-en, pleurais-je, cachée au fond de la salle de bain.
- Je m'excuse mon amour, sors de là, s’il-te-plait.J'suis qu'un pauvre con je le sais, je m'excuse. »
J’ouvrai la porte, un mouchoir posé sur la lèvre inférieure. Mes mains tremblaient légèrement et je sentais mes yeux se refermer. Il me prit dans ses bras et me bécota l'épaule.
- « Tu me pardonnes ? », dit-il, le visage tout près de moi.
J’acquiesçai en posant ma tête sur son torse. Il ne caressait pas mes cheveux comme Danny, tout de même je me laissai faire et huma son parfum qui l'enveloppait.


POV Abby Sanchez
Part 03


Derek m'avait offert une bague de fiançaille, que j'avais acceptée sans en connaître la raison. Tout s'était guéris ormis une marque sur la tempe gauche. J’ai lu sur internet que cela aurait été fatal pour moi s'il avait cogné plus fort ou une seconde fois à cet endroit. Maintenant, il savait toujours ou j'allais, il ne me quittait presque plus. Nous arrêtions au Starbucks pour prendre un déjeuner pour ensuite partir magasiner les décorations du salon. Il insistait pour le faire, voulant qu'on soit un vrai couple maintenant.
- « Je peux y aller ? , demandais-je une fois stationné.
- Oui, dit-il avec une petite hésitation, Fait vite d’accord ?
- Oui oui », dis-je ouvrant ma porte.
Je mis mes lunettes de soleils noir et plaça mes mèches contre mes tempes. Je commandai sachant ce que je voulais et attendit ma commande. J’achetai le journal avant de prendre le tout. Derek trouva que j'avais tardée, je donnai comme excuse qu'il y avait déjà des clients à mon arrivée. Je lus durant tout le trajet, il n'aimait pas ça et me demanda poliment pour une première fois de cesser de lire.
- « Une minute j'ai presque finis.
- Abby, dit-il durement,Tiens donc ma main à la place.
- Désolé », dis-je en la prenant.
Je soupirai en laissant tomber le journal par terre. Plus tard dans la journée, nous avions achetés la peinture et quelques décorations. Il posa nos achats sur le bureau du salon ou je m’installai pour continuer ma lecture.
- « On commencera demain matin », ordonna t-il.
Il m'embrassa sur le front avant d'aller dans la douche me laissant seule pour enfin respirer comme il faut. Dans la section Livres&Auteurs du journal, je souri à la première page. C’était Danny assis devant une table, un crayon permanant à la main. Des piles de livres identiques posés soigneusement sur la table. Ses livres étaient tout autour de lui, il souriait de pleines dents à l'objectif. Je lu son article avec beaucoup d'attention, tellement que je n'entendis pas Derek sortir, torse nu, la serviette noué à la taille. Vers la fin du paragraphe, je pouvais lire une citation qu'il avait dite durant l'entrevue.
'' Je ne peux pas croire que ça m'arrive à moi. Sans Abby Sanchez, je n'aurais peut-être pas réussis. Je lui dois tout.''
Mon sourire se fendit en rire tellement j'étais contente. Je coupai la feuille le concernant et poussa le reste du journal. Quelques gouttes d'eau tombèrent sur mon épaule. Je compris que Derek se tenait juste derrière moi, attachant son jean.
- « Pourquoi tu souris comme une imbécile, ria t-il méchament.
- Rien », dis-je en tentant de refermer la page découpée.
Mais il la prit, regarda la photo, déjà frustré et l'était encore plus quand il vit mon nom.
- « Tu l'aimes avoues le !
- Non, mentais-je fermement.
- Pourquoi tu souris comme ça alors ?, dit-il en élevant le ton.
- Je suis simplement contente pour lui. Ça prouve que j'ai fait un bon travail en l'aidant. »
Il pouffa de rire, mettant en boule le papier, le jetant ensuite par terre.
- « Toi, faire du bon travail ? , sourit-il comme un démon.T'es qu'une moins que rien, tu ne pourrais même pas payer ma bague qui va avec la tienne. »
Cette phrase acheva ma confiance en moi et les larmes descendirent vers le bas sans arrêter.
- « Alors mademoiselle est amour avec quelqu'un d'autre, dit-il en tirant mes cheveux pour que je me retourne , Arrête de chialer comme une gamine. »
Mes larmes n'arrêtèrent pas et pour la première fois, je me défendis. Je frappai son torse du mieux que je pouvais avant qu'il me frappe en plein sur le nez avec une force gigantesque. Il ne la trouva pas comique mais alors là pas du tout. Il prit mes épaules et me jeta sur le mur blanc, un cadre tomba et se brisa.
- « Dit le donc si tu l'aimes sale garce ! , insista t-il me voyant agonisé par terre.
- Oui, hurlais-je, Je l'aime à en perdre la tête. Il embrasse mieux que toi et il m'aime lui aussi
Mes mots étaient pires qu'un coup physique pour lui. Ses yeux n'avaient jamais été aussi diaboliques, aussi meurtrier. Le stress m'envahit et je respirais très mal en reculant vers la cuisine. Il me suivit doucement, chaque pas me faisait peur. J’attrapai le plus gros couteau et le menaça de me laisser tranquille.
- « Approche pas je te dis !
- Voyons Abby, tu penses faire quoi avec ça, aller lâche ce couteau », ria t-il s'approchant de plus belle.
Je tenais fermement le manche droit vers lui.
- « Bon d'accord, ça suffit, dit-il en croisant les bras, On arrête ça là, va le retrouver.
- J'te crois pas, dis-je restant dans la même position.
- Sors je te dis », dit-il d'un ton calme.
Je me dirigeai vers la sortie, toujours avec le couteau. La main sur la poignée, il courra vers moi. Trop maladroite, il prit mon arme et m'attrapa la gorge, j’étais incapable de crier.
- « T'as pas le droit de me laisser, chuchota t-il en me tirant vers le salon.
- Pitié, marmonnais-je, laisse moi partir.
- Pour le rejoindre ? , dit-il avant d'enfoncer le couteau dans mon ventre, Jamais. »
Toujours derrière moi, il plongea la lame encore une fois, serrant ma gorge de plus en plus. Il me laissa tomber à terre, j’avais l'impression de convulser. Il embarqua sur moi et mit ses deux mains sur ma gorge et le torda, le serra jusqu'en m'en faire rougir la figure. Je tapais à peine ses bras pour m'en dégager. Mes mains reprirent leurs places, au long de mon corps. Il se retira de moi, me regardant les yeux grands ouverts. Je ne bougeais plus, les yeux à demi-clos, seul mon petit doigt bougeait tout seul. Mes lèvres se mirent à grelotter et je poussai ma tête sur le coté. Je vis la page de journal de Danny, même chiffonné, je voyais ses yeux bleus fixer vers moi. Puis les miens se fermèrent pour de bon.


POV Abby Sanchez
Part 04


Mon regard ce porta sur le plafond, celui de ma chambre, ce qui bouscula plein d'idée dans ma tête. J’entendais du bruit dans l'autre pièce et m'y diriga.Derek était là en train de nettoyer le sang sur le sol autour de moi. Je me voyais inerte devant lui, les lèvres bleus et des marques rouges au cou. Je ne sentais pas mon souffle se couper, je regardai mes mains, transparentes et bleûtées.Je ne comprenais rien et je vis de loin mon reflet dans le miroir. J’étais effectivement transparente avec une touche de bleu tout autour de moi. Je poussai un cri long et strident et je vis sa figure devenir bleu de peur. Il hocha la tête pour se remettre les idées en place. Je passai en coup de vent devant lui, m’approchant de mon corps. Je vis qu'il avait sentis ce courant froid que j'avais provoqué. Je souri et repassa encore plus proche et rapidement que la première fois. Il détestait ça et ne comprenait pas ce qu'il se passait. Il monta le degré de la température et prit ensuite la chaise roulante laissé dans le garde-robe. Il souleva mon corps sans énergie et m'assis dessus. Il me laissa pourrir au fond de la penderie sans doute pour aller me porter je ne sais trop ou la nuit venus. Je me devais de faire quelque chose mais je ne savais pas quoi encore. Il alla dans la toilette, la pièce était tout noir, je me plaçai derrière lui quand il ouvra la lumière. Tenus devant le miroir, il se figea quand il me vit. Il referma la lumière, je dégageai la pièce avant qu'il ne la réouvre.Je l'avais atteint psychologiquement et attendit qu'il sorte de là. Il s'assura que rien ne trainait à la place ou il m'avait laissé pour morte. Il n'allait pas s'en sortir avec autant de facilité. Je me disais cette phrase à répétition voyant qu'il commençait à faire nuit et qu'il préparait ma descente de la maison. Il ne devait pas la quitter, justice devait être faite. Puis je quittai le sol, je volais à deux centimètres. Je crois que mon heure était bientôt arrivé, je devais donc me dépêcher. Ses mains prirent la chaise, ma tête était baissée, les paumes de mains visant le haut. Presque prêt à partir, il gagna sa chambre, surement pour une paire de gant. Je pris doucement la chaise et la déplaça vers le salon. Quand il revenu, sa figure valait le plus grand trésor du monde, il était terrorisé. Encore plus quand il me vit, les yeux souriant de diablesse vers lui.
- « A...Ab...Abby », souffla t-il apeuré.
Je saisis son cou et le leva comme si j'étais la femme la plus forte au monde. Je l’amenai à l'étage, à son bureau, devant la grande fenêtre. Je serrai sa gorge avec la force qu'il avait prit pour m'étrangler puis la doubla avant de mettre son corps dans le vide, le tenant encore.Ses yeux était gigantesque, laissant voir des veines mauve sur ses tempes et son front.
- « Désolé, marmonna t-il comme un idiot.
- Désolé n'est pas suffisant », dis-je glacialement, tenant sa gorge de mes petits doigts froids.
Il ne pouvait même pas se défendre, ses bras restaient figés sur place. Je relâchai ma main et en vitesse, tête première sur les briques. Je regardai le tout se produire et d'une façon satisfaisante. Mes pieds se levèrent de deux autres centimètres. Une flaque de sang entourait le sol, les yeux ouverts, l’air déjà pâle. Je ne le regardai pas plus longtemps et retourna me voir...Si on peut dire ça comme ça. Puis je le vis, dans le même état que moi, il était n'était pas bleuté, il tirait sur un rouge très foncé. Il venait d'arriver, pourtant son corps ne montait pas. Par une force inexpliquée, il retourna vers l'extérieur, n’émettant aucun son et ce n'est pas parce qu'il ne pouvait pas. Il rejoignit son corps et fut apeuré en voyant sa tête éclatée. Il plongea sous terre en essayant de se défendre, les yeux rivés sur moi, puis disparût. Je sortis une lettre et un crayon et écrit quelques mots,imitant son écriture.
J'ai tué Abby, je suis désolé. Adieu Derek
Je laissai la lettre dans la paume de sa main droite. Je m'aperçus que j'avais montée de trois centimètres maintenant. Je retournai à l'intérieur et me prit dans mes bras, c’était étrange. Je me déposai sur le sofa et me dit adieu. Je quittai la maison et n'avait qu'une envie, voir Danny une dernière fois. Sa maison était à quelques minutes de chez moi. La pénombre était au rendez-vous, personne à l'horizon, je volai jusqu'à chez lui. Seul dans sa chambre, couchée sur son lit, les yeux fermés sur son plafond. Je me plaçai vis-à-vis lui,essayant en vain de m'approcher. Je dis doucement son nom puis une deuxième fois. Ma voix sonnait comme un écho. Il ouvra péniblement les yeux, ne croyant pas ce qu'il voyait. Mon corps montait de plus en plus vite, ma tête frôlait son plafond. Il tendit sa main et j'essayais de la prendre mais mon corps me le refusait, j’étais trop loin. D’un bond il se leva et l'attrapa.
- « Mon ange », murmura t-il.
Je lui souris, essayant d'être retenus par la force de sa main. Nous tendîmes nos visages, ses lèvres étaient brûlante, à l'opposées des miennes qui étaient glacées quand ils se collèrent. Il essaya en vain de m'attirer contre lui mais je continuais à voler à contre courant.
- « Je t'aimais Danny, je t'aimerai toujours », dis-je avant de lâcher avec regret, sa main.
Mon corps quitta pour de bon sa maison puis en vitesse je rejoignis les étoiles.


FIN
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MessageSujet: Re: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? EmptyVen 9 Juil - 20:47

J'adore. C'est tout ce que j'ai à dire sur cet OS :')
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MessageSujet: Re: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? EmptyJeu 15 Juil - 5:16

Je vais t'envoyer ma correction et ma critique par pdv, ça fera moins pâté, puis, ça mettra moins de temps à charger.

Donc, le premier.

Je préparais son petit déjeuner comme à l'habitude mais plus vite aussi.
 Ta phrase est maladroite. On dira plus : « comme d’habitude, mais en accélérant tout de même un peu. »
Il n'était pas levé encore mais cela ne saurait tarder.
 Pareil. « Il n’était pas encore levé, mais ça ne tarderait sûrement pas. »
J’entendais déjà ses toussements, son corps se retourné pour se mettre debout.
 « Toussements » n’existe pas. On dit « sa toux ». « Son corps se retournait » Bien que son corps ne se bouge pas seul, donc on dira : « le froissement des draps sous le poids de son corps, se retournant. »
Son café n'était même pas préparé.
 Le verbe « préparer » est cité plus haut : répétition.
Si tout ne serait pas en place à sa sortie, j’allais avoir des ennuis.
 « Si tout n’était pas en place »
Peut-être pire qu'hier soir quand il m'a giflé pour avoir été en retard du cinéma avec Sophia.
 En retard lorsque nous sommes allées au cinéma avec Sophia.
Il s'assit directement devant son plat et le manga en me remerciant d'une voix étouffé dû au réveil.
 Mangea ; étouffée ; due.
- « Tout est à ton goût mon amour ?, tentais-je derrière lui, D’autre café ?
 derrière lui. D[…]
Je pris mon fond de teint et mon anti-rougeur et appliqua le nécessaire sur ma pommette rougis.
 Et appliquai ; rougie
Le tout était disparu et mon sourire faible était au moins présent.
 Ta phrase n’est pas très française… Very Happy Par exemple : Le tout disparu, mon sourire, bien que faible, put au moins s’étirer sur mes lèvres.
- « C'est bien comme ça, demandais-je pointant ma joue gauche.
 Si c’est une question, il doit y avoir un point d’interrogation après « ça »
. Je pris l'appel,c'était mon père qui voulait savoir si je voulais venir faire un tour.
 Vouloir x2 Et faute de frappe.
- « Tu restes ici, n’oublis pas, m’avertit Derek de loin, me regardant sévèrement.
 « Tu restes ici, ne l’oublie pas ! »
- Mais pourquoi, dis-je, le téléphone collé contre ma clavicule.
 Si c’est une question, il doit y avoir un point d’interrogation après « pourquoi »

Il avait lancé la zapette à l'autre bout de la pièce, droit vers le mur ou elle éclatât en quatre morceaux.
 « éclata. »
Mes mains sur mes oreilles et la tête penchée vers le bas le fit avancer vers moi.
 Le firent
Soit il allait me frapper ou m'embrasser.
< si tu mets soit une fois, il faut le mettre une nouvelle fois : à la place de « ou »
Ses doigts attrapèrent mon menton et le leva pour que j'affronte son regard.
 « et le levèrent afin que»
Je tournai la tête et plus durement, il plaça ma tête vers lui.
 Tête x2
- « Abby, Je ne voulais pas t'effrayer », dit-il doux comme un agneau.
 « Abby, je ne(…) »
J’acquiesçai en me laissant embrasser par ses lèvres dures et chaudes. Il me tenait tellement fort et était tellement dominant que je pensais disparaître au fond du sofa. Ses doigts tenaient mes poignets fermement et les monta vers le haut pour les dégager.
 « et les montèrent »
Ils les serraient de plus en plus fort et j'avais le goût de crier : À l’aide !
 « l’envie » pas goût.
Se faisant plaisir, je me contentai de rester presque toujours immobile, la tête sur le coté, fixant l'heure qui passait trop lentement à mon goût.
 « je me contentais »
Les aiguilles du cadran passaient aux ralentis rien que pour me nuire.
 Cette phrase est superficielle.


Je trouve que dans l’ensemble, ce n’est plutôt pas mal. Il manque un peu les sentiments de la fille. Elle est quand même violentée ! Elle doit donc, trembler, penser en injuriant cet homme, ce Dereck. Ca aussi : Dereck c’est le nom typique du gars dérangé. Ca ferait plus étonnant si tu lui donnais un nom permettant de faire fausse route, genre Tomy, … Mais, rien que lorsque tu auras corrigé tout cela, ce sera mieux Very Happy
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Mayssa
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Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? Vide
MessageSujet: Re: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? EmptyJeu 15 Juil - 5:40

Le second :



- Bonjour...Alors t'as amené ton travail ?
- Bien sûre, tiens », dit-il en me donnant le paquet de feuille.
< Pas de « e » à bien sûr, le « e » ne se met que lorsque tu veux dire : « j’en suis sûre », par exemple.
- Oui, s’il-te-plaît, merci », remerciais-je, gentiment.
 Répétition : merci/ remercie.
Il ne se plaça pas face à moi comme à l'habitude, il se remit à coté de moi, très proche, suivant chaque ligne que je lisais.
 Comme d’habitude..
- Oui, dis-je sérieusement, mon regard dans le sien, Assurément, il est très bon. Tu trouves les bons mots pour tout décrire, t’auras aucun mal, t’inquiètes.
 Tu quittes un peu le langage familier presque soutenu que tu entretenais tout le long… Répétition de bon.
- Ouais mais tu sais, les amies, la famille, certains vont juste dire oui pour te faire plaisir.
 Il n’y a pas vraiment à mettre de « ouais », ni de oui, en haut, aucune question ne permets de répondre par cela.
Se penchant de plus en plus, ses lèvres rejoignirent les miennes, me donnant un doux baiser jamais reçus auparavant.
 Cette phrase est maladroite. De plus pas de s à recevoir.

Tout était bien réel et il passa sa main sur ma nuque, caressant mes cheveux d'un toucher encore plus doux. Je lâchai le crayon que je tenais et rejoignis sa main avec la mienne. Stoppant tout, nous nous sourirent, ne lâchant pas nos mains.
 Avec nous, c’est : « nous nous sourîmes. »
Il passa son pouce sous mon œil et ôta un cil en un instant. Il regarda son pouce, maintenant devenus beige et crémeux.
< devenu
- « Rien de bien grave, dis-je sur un ton rassurateur, j’ai été maladroite avec mon fer plat.
> rassurateur ? Ca n’existe pas, mais a a eut le don de me faire rire ! ^^ c’est « sur un ton qui se voulait rassurant »
Je sortis en vitesse du Starbucks et prit le premier autobus que je vis.
 Je sortais ; et pris
Je sortis mon maquillage et mon miroir et arrangea ma pauvre figure.
 Sortir x2 (la phrase corrigée au-dessus). « arrangeais »
- « Tu étais ou ?, demanda t-il, doucement mais aussi glacialement.
> où ; les mots suivants « demanda-t-il » sont maladroits.
- Tu étais encore avec lui, avous, dit-il poussant son assiette tellement fort qu'elle tomba à terre.
> avoues ; son assiette avec une telle force
- J'ai rien fait , mentais-je du mieux que je pouvais,la tête à peine haute.
>Je n’ai rien fait, mentis-je.
- « Tu vas la fermer oui ! J’te gage que tu l'as vu et que vous êtes partis baiser à quelque part, avous le ! »
> pas de à entre quelque part et baiser. « Avoues-le »
Il me souleva et m'assis à la chaise installé dans la toilette.
 Sur la chaise.
Il sort la boîte de kleenex et la posa sur le lavabo.
 Il sortit
Je tenais ma tête qui tentait d'exploser à n'importe quel moment.
>Maladroit
Je montai ma tête, l’air féroce, serrant ma mâchoire.
 Pareil
Je me levai, posa mes mains sur son torse et le poussa vers la sortie avant de fermer la porte. Tout s'était tellement passé vite qu'il ne s'était pas défendus mais après il bûcha dans la porte car je la barrai.
 Je me levais, posais ; le poussais : défendu ; mais après, il… ; la barrais.
- Je m'excuse mon amour, sors de là, s’il-te-plait. J'suis qu'un pauvre con je le sais, je m'excuse. »
 Il ne s’excuse pas tout seul ! Donc, c’est je te présente mes excuses.
J’ouvrai la porte, un mouchoir posé sur la lèvre inférieure. Mes mains tremblaient légèrement et je sentais mes yeux se refermer.
J’acquiesçai en posant ma tête sur son torse. Il ne caressait pas mes cheveux comme Danny, tout de même je me laissai faire et huma son parfum qui l'enveloppait.
>comme Danny, mais je me laissais tout de même faire et humai son parfum. (le reste est superficiel.)



Je ne suis absolument pas un adepte de la violence et j'évite ce genre de lecture au maximum d'habitude, mais là, falait bien faire un effort ! Cependant, lorsque je me vois obligée d'en écrire, je le fais un peu comme si c'était une chorégraphie, avec des mouvements circulaires, arrondis, pour adoucir tout en rendant trash. C'est compliqué ce que je dis, hein ? Oui, mais je n'arriverai pas à te l'expliquer autrement.
Donc, j'aime moins cette partie du texte, mais c'est à cause de mon côté trouillarde.
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MessageSujet: Re: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? EmptyJeu 15 Juil - 6:00

Troisième :
Derek m'avait offert une bague de fiançaille, que j'avais acceptée sans en connaître la raison.
>Fiançailles ; pas d’accord avec avoir !
Tout s'était guéris ormis une marque sur la tempe gauche.
>J’aurais plus vu cela : « Je m’étais remise de mes blessures, il n’en restait qu’une seule : sur la tempe gauche. »
Maintenant, il savait toujours ou j'allais, il ne me quittait presque plus.
>où
Nous arrêtions au Starbucks pour prendre un déjeuner pour ensuite partir magasiner les décorations du salon.
>Nous nous arrêtions ; pour x2
- « Je peux y aller ? , demandais-je une fois stationné.
>stationnée
- Oui, dit-il avec une petite hésitation, Fait vite d’accord ?
>fais
Je mis mes lunettes de soleils noir et plaça mes mèches contre mes tempes.
<Je mettais mes lunettes de soleil noires et plaçais
Je commandai sachant ce que je voulais et attendit ma commande.
>commander/commande ; Je commandais ; et attendais
- « Une minute j'ai presque finis.
> fini
- Désolé », dis-je en la prenant.
> désolée
Il posa nos achats sur le bureau du salon ou je m’installai pour continuer ma lecture.
> où
Il m'embrassa sur le front avant d'aller dans la douche me laissant seule pour enfin respirer comme il faut.
> »comme il fallait. »
Dans la section Livres&Auteurs du journal, je souri à la première page. Danny assis devant une table, un crayon permanant à la main. Des piles de livres identiques posés soigneusement sur la table. Ses livres étaient tout autour de lui, il souriait de pleines dents à l'objectif. Je lu son article avec beaucoup d'attention, tellement que je n'entendis pas Derek sortir, torse nu, la serviette noué à la taille. Vers la fin du paragraphe, je pouvais lire une citation qu'il avait dite durant l'entrevue.
'' Je ne peux pas croire que ça m'arrive à moi. Sans Abby Sanchez, je n'aurais peut-être pas réussis. Je lui dois tout.''
>Ta phrase est mal coupée, organisée : « Je souriais à la lecture de la première page : un article de Danny. Il y avait même une photo, il se tenait, tout sourire, assit devant une table, un crayon à la main et des piles de livres identiques l’entourant. J’étais tellement absorbée par la lecture que je n’en entendis pas Dereck sortir de la douche. » (tu ne peux pas le décrire puisqu’elle ne le regarde, ni ne l’entends).
« La fin eût raison de mon sourire : j’éclatais de rire et contente, coupais la feuille le concernant et poussai le reste du journal. »
- « Pourquoi tu souris comme une imbécile, ria t-il méchament.
<deux « m » à méchamment.
- Non, mentais-je fermement.
>mentis-je
Cette phrase acheva ma confiance en moi et les larmes descendirent vers le bas sans arrêter.
> Très maladroit.
- « Alors mademoiselle est amour avec quelqu'un d'autre, dit-il en tirant mes cheveux pour que je me retourne , Arrête de chialer comme une gamine. »
>est en amour
Mes larmes n'arrêtèrent pas et pour la première fois, je me défendis.
>je me défendais
- « Dit le donc si tu l'aimes sale garce ! , insista t-il me voyant agonisé par terre.
>dis-le
aussi meurtrier
 meurtriers
La main sur la poignée, il courra vers moi.
>Il courut

Toujours derrière moi, il plongea la lame encore une fois, serrant ma gorge de plus en plus. Il me laissa tomber à terre, j’avais l'impression de convulser. Il embarqua sur moi et mit ses deux mains sur ma gorge et le torda, le serra jusqu'en m'en faire rougir la figure. Je tapais à peine ses bras pour m'en dégager. Mes mains reprirent leurs places, au long de mon corps. Il se retira de moi, me regardant les yeux grands ouverts. Je ne bougeais plus, les yeux à demi-clos, seul mon petit doigt bougeait tout seul. Mes lèvres se mirent à grelotter et je poussai ma tête sur le coté. Je vis la page de journal de Danny, même chiffonné, je voyais ses yeux bleus fixer vers moi. Puis les miens se fermèrent pour de bon.
>Ce n’est pas crédible ton paragraphe, si elle se reçoit deux fois un coup de couteaux de la sorte, elle en meurt immédiatement. De plus, la description qu’elle fait de sa mort… Ce n’est pas plausible. Tu aurais peut-être dû faire cet extrait du point de vue de Dereck.
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MessageSujet: Re: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? EmptyJeu 15 Juil - 6:15

Troisième :

Mon regard ce porta sur le plafond, celui de ma chambre, ce qui bouscula plein d'idée dans ma tête.
 Se porta ; pleins d’idées
J’entendais du bruit dans l'autre pièce et m'y diriga.
>m’y dirigeai
Je vis qu'il avait sentis ce courant froid que j'avais provoqué.
>senti
Je souri et repassa encore plus proche et rapidement que la première fois.
>Je souriais et repassais
la chaise roulante laissé dans le garde-robe.
 Laissée
Il souleva mon corps sans énergie et m'assis dessus.
>Et me fit asseoir
Il me laissa pourrir au fond de la penderie sans doute pour aller me porter je ne sais trop ou la nuit venus.
>où la nuit venue
Je me devais de faire quelque chose mais je ne savais pas quoi encore. Il alla dans la toilette, la pièce était tout noir, je me plaçai derrière lui quand il ouvra la lumière.
>la pièce baignée dans le noir ; je me plaçais ; il alluma
Tenus devant le miroir, il se figea quand il me vit.
<Debout
Il referma la lumière, je dégageai la pièce avant qu'il ne la réouvre.
>Il éteignit ; je quittais ; rallume
Je l'avais atteint psychologiquement et attendit qu'il sorte de là.
>La phrase n’est pas bonne.
Il s'assura que rien ne trainait à la place ou il m'avait laissé pour morte.
>rien ne traînait ; où ; laissée (c .o.d. avant avoir = accord possible)
Je crois que mon heure était bientôt arrivé, je devais donc me dépêcher.
 Arrivée.
Ses mains prirent la chaise, ma tête était baissée, les paumes de mains visant le haut.
C’est lui qui dirigent et non ses mains, tu comprends ce que je veux dire ?
Presque prêt à partir, il gagna sa chambre, surement pour une paire de gant.
>sûrement
la chaise et la déplaça vers le salon.
<la déplaçais
Quand il revenu, sa figure valait le plus grand trésor du monde, il était terrorisé.
>il revint
Encore plus quand il me vit, les yeux souriant de diablesse vers lui.
>souriants de machiavélisme en sa direction.
Je saisis son cou et le leva comme si j'étais la femme la plus forte au monde.
> le levai
Je serrai sa gorge avec la force qu'il avait prit pour m'étrangler puis la doubla avant de mettre son corps dans le vide, le tenant encore.
>la doublai
Ses yeux était gigantesque, laissant voir des veines mauve sur ses tempes et son front.
>étaient gigantesques ; mauves
Je relâchai ma main et en vitesse, tête première sur les briques.
>manque des mots.
Je ne le regardai pas plus longtemps et retourna me voir...
>regardais et retournais
n’émettant aucun son et ce n'est pas parce qu'il ne pouvait pas.
>Tu es au passé, attention !
Je retournai à l'intérieur et me prit dans mes bras, c’était étrange.
>me pris.
Je me déposai sur le sofa et me dit adieu.
< me dis
dans sa chambre, couchée sur son lit, les yeux fermés sur son plafond.
 Couché
Je lui souris, essayant d'être retenus par la force de sa main.
>retenue
Nous tendîmes nos visages, ses lèvres étaient brûlante, à l'opposées des miennes qui étaient glacées quand ils se collèrent.
>brûlantes, à l’opposé ; quand elles se collèrent.


Même si l'idée est originale, je trouve le texte un peu cliché, niais. J'aurais plus vu Abby tuer Dereck avec le couteau... Il n'en reste pas moins que tu as beaucoup d'imagination !
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MessageSujet: Re: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? EmptyDim 18 Juil - 23:26

Merci Smile J'asi pris tout en note et j'ai amélioré et changé un peu l'histoire.
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Mayssa
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MessageSujet: Re: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? EmptyLun 19 Juil - 6:15

De rien, c'est fait pour ça Smile
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MessageSujet: Re: Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ? Sorry's not good enough  .. Can I take my revenge, even dead ? Empty

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Sorry's not good enough .. Can I take my revenge, even dead ?

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